• Comme je vous l'ai dit dernièrement, j'ai terminé la cueillette au jardin et j'ai mis en conserve le gros de la cueillette.

    Mais comme le dit actuellement la pub à la radio, mangeons du poireau...Et devant les miens bien nettoyés, j'ai eu envie de préparer un bon petit plat chaud et parfumé.

    Un gratin de pâtes aux poireaux

    Quand on me disait gratin de pâtes, j'avais tendance, pardonnez-moi,à voir un conglomérat de macaronis collés entre eux par du gruyère, dans une sauce lourde absorbée par les pates, le tout assez fadasse.... Et je me suis régalée avec cette recette, alors je la partage avec vous.

    Il vous faut:

    -500 grs de pâtes cuites

    -5 poireaux coupés en petits morceaux

    -une bonne poignée de lardons

    -une béchamel très légère et peu épaisse

    -une bonne poignée de fromage rapé

    -2 clous de girofle

    -1/2 c à café de muscade

    -sel, poivre, chapelure

    Déposer les macaronis dans un plat peu profond.

    Ajouter les lardons préalablement dorés à la poele.

    Dans la meme poele avec le gras des lardons, faire sauter les poireaux jusqu'à ce qu'ils soient tendres, presque compotés (ajouter un peu d'eau en cours de cuisson et couvrez). Mélangez aux pates.

    Ajouter la béchamel parfumée des clous de girofle et de la muscade. Ajouter le fromage râpé, saler, poivrer, mélanger bien.

    Saupoudrer de chapelure et mettre au four à 180 pendant 20 minutes.

    La photo avant d'enfourner:

    Un gratin de pâtes aux poireaux

    C'est prêt à déguster... Et il n'y en a jamais assez!

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  • Voilà le printemps qui arrive et il est de nouveau temps de preparer les carrés du potager pour les prochains semis et plantations...

    Mais il reste quelques légumes qui ont passé l'hiver en terre et avant le grand nettoyage, il faut les récolter et les mettre en conserve.

    La dernière cueillette de l'année: choux, poireaux et rutabagas.

    Le retour des beaux jours...

    Et maintenant, c'est au "vieux gars" de se mettre au boulot!

    Le retour des beaux jours...

    Le retour des beaux jours...

    Le retour des beaux jours...

    Il ne reste qu'à préparer les planches... Le rotovateur, c'est formidable!

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  • La maquette est terminée, il ne reste que les petites touches finales à apporter: un peu de peinture et de craie pour faire ressortir le museau du cochon, un peu de craie ocre sur les flancs et les pattes, de craie noire sur la queue pour faire ressortir les annelures...

    Le bousard de Brucero 7 (finitions peinture)

    Le plus délicat: le visage du bousard... Cette fois, j'ai utilisé une loupe pour poser les touches de peinture sur les yeux, les lèvres, les sourcils et la barbe... Encore un peu de craie sur le nez, les oreilles et les joues... Et collage du chapeau sur la tête (un 3/4 de cercle de tissu, un cercle évidé renforcé avec du carton, un cure-pipe pour la rigidité et un peu de cuir autour du cône et au bout du chapeau pointu, turlututu!), ça donne ça:

    Le bousard de Brucero 7 (finitions peinture)

    Le bousard de Brucero 7 (finitions peinture)

    Quelques photos de l'ensemble pour finir:

    Le bousard de Brucero 7 (finitions peinture)

    Le bousard de Brucero 7 (finitions peinture)

    Et pour terminer, un rappel du dessin de Brucero et une photo de la maquette sous le même angle:

    Le bousard de Brucero 7 (finitions peinture)

    Le bousard de Brucero 7 (finitions peinture)

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  • En commençant la charrette, je vais changer de matériau: pas de fimo,ni de tissu, juste du carton et du bois.

    J'ai dessiné le gabarit de la charrette sur un carton fort, comme on le fait pour un dé ou une boîte,sans oublier les languettes d'encollage.Après le découpage et le marquage des plis, j'ai recouvert le carton de batonnets d'esquimau.

    Pour rendre l'aspect vieilli, j'ai abîmé les extrémités et creusé des fentes au cutter, puis après le séchage, j'ai peint avec un mélange très dilué de terre de sienne et d'ocre en insistant sur le veinage...Un petit coup de ponçage et voilà!

    Le bousard de Brucero 6 (la charrette)

    Pour les roues ,j'ai pris deux rondelles de bois sur lesquelles j'ai creusé des stries au cutter, meme traitement peinture que la charrette et un peu de chambre à air découpée et collée sur la tranche.

    Les deux roues sont reliées l'une à l'autre par une baguette de bois qui traverse la charrette et chaque roue et un petit morceau de durite (vive l'atelier de mon chéri!)vient bloquer le tout de chaque coté.

    Le bousard de Brucero 6 (la charrette)

    Pour les rehausses et les bras de la charrette, j'ai utilisé des pics à brochettes que j'ai peint en brun bien dilué, je les ai attachés soit avec du coton à broder, soit avec du raphia pour les endroits visibles. Les rehausses sont collées à l'intérieur de la charrette. Un petit bout de tissu vient protéger les 4 extrémités.

    Le bousard de Brucero 6 (la charrette)

    Le bousard de Brucero 6 (la charrette)

    Pour la paille du fumier, les restes de décoration d'un panier garni font parfaitement l'affaire!

    Le bousard de Brucero 6 (la charrette)

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  • Après le cochon, j'ai entrepris la réalisation de son conducteur.

    J'ai commencé par créer la tête et les mains en fimo.Pour donner la forme globale, j'ai utilisé un moule à fimo qui ébauche le visage et les mains. Ensuite, j'ai retravaillé les formes, sculpté, coupé, plié et après cuisson, ça donne ça:

    Le bousard de Brucero 5 (le bousard assis)

    Pour les cheveux, j'ai utilisé des brins de sisal teintés à l'encre de Chine que j'ai collés à la Néoprène.

    J'ai ensuite réalisé la colonne vertébrale du personnage avec un cure-pipe, ainsi que les bras et les jambes et j'ai cousu son vetement. Après lui avoir enfilé, j'ai collé les mains au bout des cure-pipes (j'avais prévu des trous pour enfoncer le cure-pipe avant la cuisson) et j'ai renbourré le corps.

    Pour les chaussures, j'ai découpé des triangles de cuir que j'ai cousus et collés aux extrémités du tissu.

    Le bousard de Brucero 5 (le bousard assis)

    Le bousard de Brucero 5 (le bousard assis)

    Il manque encore le chapeau et les couleurs, mais voilà déjà ce que ça donne juché sur son cochon.

    Pour le siège, j'ai sculpté un peu les planches latérales avant de les coller de chaque côté et pour que tout cela soit bien posé sur le cochon, un perçage au milieu du siège, dans le cochon et dans le derrière du bousard permet de maintenir le tout avec un cure-dent.

    Le bousard de Brucero 5 (le bousard assis)

    Le bousard de Brucero 5 (le bousard assis)

    Le bousard de Brucero 5 (le bousard assis)

    Voilà pour aujourd'hui!

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